La Bonne nouvelle nous oblige, sœurs et frères. A nous de transmettre la parole d’autorité du Seigneur. A nous, d’annoncer sa proximité et sa grâce. A nous encore de dire « tais-toi » à toutes les voix démoniaques qui avilissent l’humain.

Il arrive que nous soyons confrontés à des situations de détresse incommensurable. Que ce qui nous apparaît comme le plus sacré, le lieu qui dit la présence de Dieu en nous et pour nous, soit profané.

Un prophète inconnu… appel à se recevoir de Dieu.

Qu’est-ce qui a bien pu pousser Jésus à aller voir de l’autre côté, dans les régions proches des villes de Sidon et Tyr, nous dit-on qui, franchement dans la Bible, ont une réputation épouvantable ? Pourquoi a-t-il fait ce premier pas au dehors d’Israël ? Une première incursion en terre étrangère qui n’était peut-être pas sans risque.

Marie décrit devant nos yeux la route juste du croyant, cet itinéraire par lequel nous permettons à Dieu de venir à notre monde et qui se termine en Dieu, l’origine.

Jésus oblige les siens à monter dans la barque, comme nous avons été obligés d’entrer dans celle de la vie, qui s’apparente davantage à une coquille de noix qu’à une embarcation stable.